Environnement, Economie & Fin du Monde – Tronche en Live #26
Les limites de notre environnement vont s’imposer à nous, bon gré, mal gré. Nos sociétés ont-elles commencé à anticiper la finitude du monde ?
Biologiste, écrivain, marionnettiste et zététicien, passionné par les raisons pour lesquelles les humains tiennent aux erreurs qu'ils commettent.
Les limites de notre environnement vont s’imposer à nous, bon gré, mal gré. Nos sociétés ont-elles commencé à anticiper la finitude du monde ?
Un peu de pratique avec le récit du travail de terrain de l’observatoire de zététique et les protocoles mis en place par Nicolas Vivant pour tester quelques affirmations pour le moins extraordinaires…
Nous recevons le blogueur et bédéiste sceptique Olivier Bernard (Le Pharmachien) pour comparer les paysages sceptiques ici et là bas, évoquer un peu les pseudomédecines et se demander sur quel ton on doit traiter toutes ces questions.
Le non-verbal, domaine colonisé par les pseudosciences qui maîtrisent l’art de l’interprétation à outrance et de la séduction cognitive à base de récits porteurs de sens. Pourquoi faut-il se méfier ?
L’essentialisme, c’est ce besoin que nous ressentons de catégoriser tout ce qui nous entoure, y compris les gens. Par économie cognitive, nous établissons nos jugement sur des étiquettes bien pratiques, Sauf que c’est là l’origine de nos préjugés !
Témoignage d’un ex tenant. Comment il est « tombé » dans certaines idées, et comment il a su les remettre en question. Où l’on voit le rôle important d’Internet.
Les professionnels du monde judiciaire sont-ils armés / formés aux concepts scientifiques qui pourraient leur garantir une approche plus rationnelle et objective de leurs métiers ? Sont-ils au contraire livrés à leurs biais tristement humains ?
Comment expliquer la fascination qu’exercent sur nos semblables les théories du complot, l’adhésion des gens autour de nous à des médecines parallèles ou au paranormal, la séduction des pseudo-sciences ? Existe-t-il une loi universelle de l’attraction des idées ?
La critique a parfois mauvaise presse. « Arrêtez un peu de critiquer – Y fait rien qu’à critiquer. La critique est aisée, etc. » et on la soupçonne facilement. Trop complaisante, trop virulente, entre bashing et fan attitude, elle a tôt fait de déplaire aux artistes, au public, à ceux qui confondent avoir un avis et faire une analyse.
Grimault et ses épigones répètent s’attacher aux « faits bruts, rien que les faits… » et nient la nature interprétative de leurs thèses.
