Les biais de confirmation
Le type de biais le plus répandu, le plus multiforme, celui qu’on retrouve dans tous les types de croyance, chez les personnes de bonne ou de mauvaise foi, chez les ignorants comme les savants. Votre invisible Némésis…
Biologiste, écrivain, marionnettiste et zététicien, passionné par les raisons pour lesquelles les humains tiennent aux erreurs qu'ils commettent.
Le type de biais le plus répandu, le plus multiforme, celui qu’on retrouve dans tous les types de croyance, chez les personnes de bonne ou de mauvaise foi, chez les ignorants comme les savants. Votre invisible Némésis…
Vous, vous avez lâché un commentaire agressif sur un blog ou un forum et quelqu’un voudrait que vous compreniez un peu son point de vue OKLM. Alors la bienvenue à vous.
Revenons sur cette idée si étrangement répandue que notre âme aurait été pesée dans le laboratoire du Dr McDougall…
La pensée conspirationniste séduit, c’est sa grande qualité, elle crée l’adhésion, cultive le doute et possède la fascinante capacité de se défendre en intégrant toutes les critiques comme de nouvelles parties qui viennent la consolider. Tentons de comprendre un peu mieux…
La physique quantique n’est pas du charabia, n’en déplaise à ceux qui voudraient lui faire dire n’importe quoi au service de théories holistiques new-age et autres médecines alternatives. Voici pourquoi.
La culture populaire véhicule des stéréotypes sur les surdoués, leur présupposée fragilité, asociabilité ou tendances autistiques. Regardons ce que la science est capable de nous apprendre sur le sujet.
Le théorème de Gödel sur l’incomplétude peut-il être utilisé pour défendre des « théories » alternatives à la démarche scientifiques ? Non.
Et voici pourquoi.
En tant que TeB, mais aussi en tant que membres de la Vidéothèque d’Alexandrie (VA) nous avons hésité à participer à cet événement. (…) certains d’entre nous pensaient qu’il ne fallait pas cautionner cette approche (…) d’autres pensaient que malgré tout il fallait être présent, que l’on devait au public d’aller à sa rencontre là où il se trouvait.
Mettons notre esprit critique à l’épreuve du paradoxe des paradoxes, le symbole même de l’indécidable, le fameux dilemme de l’œuf et de la poule.
Editorial Ainsi que l’a écrit Daniel Dennett, faire de la science, c’est faire des erreurs en public. L’erreur est féconde. C’est en corrigeant nos erreurs que l’on accède à des connaissances nouvelles, et il faut parfois se tromper pour constater qu’on ignore une chose qu’il reste à découvrir. L’acquisition d‘un savoir-faire passe également par un […]