Enquête sur un gourou : Jacques G
Le journalisme d’investigation est-il armé pour décrire et combattre l’emprise mentale d’un gourou comme Jacques G ?
Biologiste, écrivain, marionnettiste et zététicien, passionné par les raisons pour lesquelles les humains tiennent aux erreurs qu'ils commettent.
Le journalisme d’investigation est-il armé pour décrire et combattre l’emprise mentale d’un gourou comme Jacques G ?
Réagir à l’agression d’un portrait au vitriole malhonnête, ce n’est pas ouvrir le débat. Ce billet vient vous dire que j’ai mieux à faire que me battre contre des inquisiteurs.
Mais d’où vient l’idée de cette scène avec les flamants roses ?
Dans nos parcours, il nous arrive tous de douter, y compris ceux d’entre nous qui sont engagés dans des croyances fortes, extrêmes, voire sectaires. Quand le doute s’invite, l’abandon des croyances peut avoir lieu, mais pas à n’importe quel prix ou n’importe comment.
J’observe depuis quelques temps l’émergence de critiques adressées aux créateurs de contenus « sceptiques » qui leur reprochent de se prétendre apolitiques ou neutres.
Depuis le départ, La Tronche en Biais est un projet dont la dimension artistique est très importante, avec une écriture théâtrale, une réalisation et une post-production imaginatives et une musique originale. À cela s’ajoute, épisodiquement, la chanson. Nous réunissons sur cette page nos créations musicales, écrites et composées par Vled Tapas ou Acermendax, ou les […]
Il est temps pour une mutation du monde de la recherche qui la mette enfin en accord avec l’un des principes fondamentaux de la science : le libre accès aux protocoles et aux résultats. C’est le projet de la « science ouverte ».
En matière de terrorisme, il existe des outils pour comprendre les facteurs de passage à l’acte, et pour évaluer les effets des décisions politiques au delà de la satisfaction d’avoir dit ou fait ce qui, sur le moment, parait juste.
La qualité des informations disponibles sur l’épidémie laisse à désirer. Plus exactement, il est difficile de faire la part des choses entre une prise de parole pertinente et le dégoisement d’un avis personnel déconnecté de la réalité scientifique.
Confondre la ferveur de nos convictions avec la force des preuves de ce que nous voulons croire nous conduit à des comportements néfastes pour nous-mêmes.